Une journée au Musée du Vatican.
Nous débutons ce dernier jour avec le musée du Vatican, en arrivant à 9h pour éviter la foule (cette fois nous avons réservé les billets). A l’intérieur les plafonds sont encore plus impressionnants que les innombrables œuvres exposées. En pénétrant dans la chapelle Sixtine que nous attendions avec impatience nous sommes dubitatifs. La salle du conclave est bien moins impressionnante que nous le pensions, quand bien même la fresque peinte par Michel-Ange est fantastique (il est interdit de prendre des photos, mais on l’a fait quand même #onestdesfous).
Réservez vos billets sur internet à l’avance pour y entre dès l’ouverture. Vous squeezerez l’interminable file d’attente et le Musée ne pas encore bondé pendant votre visite 🙂
La Place et le Dôme de la Basilique.
En quittant le musée nous longeons les immenses remparts du Vatican sur le chemin pour la Place Saint-Pierre (le temps d’être accosté 15 fois sur 300 mètres). La place est aussi grande que belle, encerclée par des dizaines de colonnes nous nous sentons en sécurité. Les constructions qui nous entourent sont spectaculaires, tout est travaillé à la perfection. Dans la file d’attente pour la coupole nous observons avec attention la fenêtre par laquelle le Pape délivre ses allocutions. A notre grand désespoir François ne se montrera pas…
Il aura fallu un peu plus d’une heure pour atteindre la coupole, le temps d’emprunter un ascenseur et des escaliers toujours plus étroits. Au sommet de la basilique nous pouvons observer le Vatican dans sa totalité comme nul part ailleurs. De la Place Saint-Pierre jusqu’aux jardins privés le panorama est superbe et, au delà de la Cité-Etat, Rome semble s’étendre indéfiniment ou que l’on regarde. Les marches que nous empruntons en quittant la coupole nous conduisent au sein même de la basilique.
Les trésors de la Basilique Saint-Pierre.
La matinée a une nouvelle fois défilé, nous profitons pendant quelques minutes du faste de la Basilique Saint-Pierre. Joyaux de la chrétienté, elle perd de son coté spirituel en raison de la forte affluence touristique. Il est toutefois difficile de rester de marbre devant ce chef-d’oeuvre architectural, sans conteste le plus bel édifie religieux que nous ayons visité. En partant nous croisons un garde de Suisse dont le flegme dénote avec son costume pour le moins carnavalesque.
Nous nous régalons une dernière fois dans un restaurant aux abords du Vatican avant de flâner quelques heures dans Rome. Nous avons passé quatre jours merveilleux dans la ville éternelle, découvrant les vestiges et édifies qui en font sa renommée. C’est évidement une ville ultra-touristique mais nous comprenons mieux pourquoi elle a tant de succès. Il suffit d’un regard pour en tomber amoureux…
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